Équipe espère pour détecter le paludisme via aimants

Anopheles stephensi

SMART (Singapour-MIT Alliance pour la recherche et de la technologie) a développé une nouvelle façon de détecter le paludisme chez les patients infectés: aimants.

Connu comme le MRR (de relaxométrie par résonance magnétique), cette procédure, qui est semblable à l'IRM (imagerie par résonance magnétique), est une dérogation aux tests classiques, qui impliquent une interaction humaine. Le procédé implique généralement la coloration de l'échantillon de sang avec un colorant pour déterminer la présence de noyaux dans les cellules rouges du sang. Si une telle présence est confirmée, le patient est positif avec le paludisme.




Bien que cette méthode a été utilisée pendant de nombreuses années, l'équipe de recherche considère cela comme vulnérables à des erreurs, y compris la contamination et une mauvaise interprétation.

Avec MRR, les résultats reposent uniquement sur les marqueurs biologiques ou naturels, produisant ainsi des résultats plus précis. Il détecte la présence de hémozoïne, un produit de déchet du parasite qui est en fait un fer converti à partir d'une hémoglobine en panne. Le processus, y compris l'analyse, ne prend que quelques minutes.

Si déployé commercialement, le nouveau système rend les tests du paludisme plus commode. Le prototype peut être monté sur un bureau. L'équipe travaille également sur une version beaucoup plus petite similaires aux tailles standard de tablettes. Le coût est également nettement inférieur.


Le paludisme est une maladie transmise par les moustiques. Il est parasitaire, qui signifie que les moustiques transmettent Plasmodium parasites par mordre les humains. Il existe de nombreux sous-espèces différentes du parasite, avec Plasmodium falciparum considéré comme le plus meurtrier.

Environ 50% de la population du monde est vulnérable au paludisme. Malgré les campagnes de sensibilisation et les efforts de recherche de l'Organisation mondiale de la Santé, plus de 200 millions de nouveaux cas ont été diagnostiqués en 2012. Alors que le taux de mortalité est en baisse, beaucoup meurent encore de la maladie avec l'Afrique étant la plus touchée. La région a enregistré 90% de décès dus au paludisme en 2012, tuant plus de 400.000 enfants de moins de 5 ans. La détection précoce et le traitement reste à être l'approche la plus efficace.


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