Ebola continue d'augmenter en Sierra Leone

Un centre de traitement d'Ebola en Afrique de l'Ouest.

Bien que le virus Ebola semble être devenu gérable en Guinée et au Libéria, deux des trois plus touchées nations ouest-africaines dans la récente épidémie, la même chose ne peut pas dire en Sierra Leone, qui lutte pour suivre le traitement de patients malgré le manque de lits et la pénurie alimentaire.

Dans un rapport publié en Reuters, le jeudi 6 Novembre, la Mission des Nations Unies pour les interventions d'urgence Ebola (UNMEER) Les actions que pour contrôler l'épidémie, les besoins de la population de la Sierra Leone, en particulier les patients, doivent être respectées.




Un, il devrait y avoir une litière suffisante. Dès l'instant, il n'y a que 4 centres de traitement qualifiés pour Ebola dans le pays avec une capacité totale de lit de pas plus de 300. En Décembre, le nombre d'unités doit augmenter pour 1864, mais basée sur les projections de 10 nouvelles installations, la plus grand nombre de lits qui pourraient être disponibles est seulement 1333.

Pour cette raison, de nombreux patients et leurs familles sont obligées d'effectuer leur traitement dans leur maison, où ils ne seront pas avoir accès à l'équipement de protection suffisante et être muni d'une formation médicale appropriée.

Il ne permet pas que raison de l'épidémie, le niveau de confiance de son peuple sur son système de soins de santé a considérablement diminué, avec beaucoup éviter d'aller à l'hôpital pour le traitement, y compris pour les maladies évitables. Cela rend UNMEER estiment que le nombre réel de cas dans le pays est beaucoup plus élevé que le décompte officiel.


Mis à part le manque de lits, UNMEER mentionne également le manque de nourriture dans la région, ce qui oblige les familles et les personnes en quarantaine à quitter leurs maisons pour chercher de la nourriture.

L'ONU a intensifié à répondre à ce besoin par une distribution de vivres par le biais du Programme alimentaire mondial (PAM) à plus de 75% des ménages Waterloo qui sont en quarantaine. Toutefois, selon Ertharin Cousin, directrice exécutive du PAM, ils peuvent être certains domaines où ils ne sont pas en mesure de fournir de la nourriture tout simplement parce qu'ils ne sont pas conscients de cette nécessité. Ainsi, ils essaient de répondre aux besoins dès qu'ils le peuvent.


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