Qui est marlise Munoz?

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Beaucoup de lois américaines ont été influencés par la vie et l'expérience des gens ordinaires. L'un d'eux est Marlise Munoz.

Marlise était de 33 ans et marié à Erick. Tant déjà eu une fille et attendaient leur deuxième enfant quand une tragédie qui est arrivé. Le 26 Novembre 2013, Erick trouvé Marlise, enceinte de 14 semaines, dans la maison qu'ils partageaient au Texas, inconscient. Personne ne savait combien de temps elle avait été dans un tel état. Quand elle a été amenée à l'hôpital John Peter Smith, elle a été diagnostiquée avec une embolie pulmonaire et ne répondait plus. Deux jours plus tard, selon l'avocat de la famille, elle était mort cérébrale.




Comme un ambulancier, Marlise était très conscient des conséquences de la mort cérébrale et avait déjà exprimé à son mari que si elle se trouver dans une telle situation, elle avait pas être placé dans le soutien de la vie, un désir de ne pas immédiatement honoré par l'hôpital et ses médecins.

Basé sur la loi existante au Texas, l'établissement de soins de santé doit effectuer toutes les mesures de sauvetage si le patient est enceinte. La loi remplace également toute directive fournie par le patient.

La seule façon pour la famille pour honorer son souhait était de porter l'affaire devant les tribunaux de l'État. En dépit d'être cliniquement et légalement mort, Marlise est restée en vie pendant environ deux mois plus. Leur famille, surtout son mari a dû comparaître devant le tribunal et de passer par l'épreuve, notamment décrire la qualité du fœtus, qui, les avocats ont insisté, a été gravement déformés qu'ils pouvaient difficilement déterminer le sexe, même si le père l'a nommée Nicole.


En Janvier 24, 2014, un juge d'État a statué en faveur de la famille, obligeant l'hôpital pour retirer le support de la vie comme la loi ne concerne plus les Marlise, qui le tribunal a reconnu comme déjà morts.

Récemment, un député de l'Etat a proposé un projet de loi qui offre plus de contrôle de la décision sur les femmes enceintes, en particulier en ce qui concerne la fin de vie. Parlant le jeudi 12 Mars, Erick a mentionné que le projet de loi peut aider les familles et les fournisseurs de soins de santé se rencontrer et discuter du prochain plan d'action, en tenant compte de toute directive préalable du patient.


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