Cuba réalise une première dans une lutte contre le VIH

Malgré un système de soins de santé qui est moins développé que d'autres nations dans le monde comme les États-Unis et les pays en Europe, Cuba est actuellement le premier à éliminer la transmission du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) de la mère à leurs bébés.




Certes, ce rapport ne suggère pas qu'il n'y a pas plus de cas de tels à Cuba. Cependant, à seulement 50 cas pour 100.000 naissances vivantes, le chiffre est extrêmement faible, il ne constitue plus une menace pour la société et les soins de santé du pays. En outre, les experts de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) estiment le nombre est justifiée compte tenu des médicaments pour le VIH appelés médicaments anti-rétroviraux ne promettons pas taux d'efficacité de 100%.

Selon Margaret Chan, directrice générale de l'OMS, cette grande réussite de Cuba peut être attribuée à plusieurs facteurs. Premièrement, le gouvernement a fourni un système de santé universel, donc tout le monde ont déjà accès à des médicaments et des soins des prestataires de santé. Il a également amélioré sa soins maternels. Au moins un million de femmes diagnostiquées avec le VIH vont tomber enceinte et de donner naissance. Toutefois, si les bons médicaments sont accessibles, le niveau de transmission va baisser de près de 50% à aussi bas que moins de 2%.

Avec l'aide de l'OMS, les soins de santé du pays surveille constamment la transmission du VIH entre les individus en particulier entre les partenaires. Le soutien aussi ne se termine pas lorsque les femmes testent maladies négatifs du VIH et sexuellement transmissibles. Ils étendent à mères et les bébés qui sont infectés.


VIH et le sida sont répandues dans les régions des Caraïbes en raison de la pauvreté et l'augmentation du tourisme sexuel. Cependant, Cuba a réussi à avoir l'un des taux les plus bas dans la région et le reste du monde. Mis à part l'imposition de quarantaine pendant le début de l'épidémie, ils ont également la promotion du dépistage cohérente en particulier pour les groupes à risque tels que ceux qui sont impliqués dans le sexe mâle-mâle depuis le début des années 1990.


S'il vous plaît évaluer cet article